Perséphone

Une œuvre filmique non identifiée

d’après André Gide

Projet en cours avec Aurore Bourgois-Demachy

Déméter, déesse de la fertilité, confie sa fille

Perséphone aux Nymphes qui chantent la beauté du

printemps.

Le grand prêtre Eumolpe met vainement en garde

Perséphone: si elle se laisse séduire par le narcisse,

une fleur dangereuse, elle ira rejoindre le royaume des

Enfers sur lequel règne Hadès.

Dans la désolation de l’hiver, Déméter cherche

désespérément sa fille qui a disparu après avoir

respiré le parfum de la fleur défendue.

Perséphone réapparaîtra mais son destin sera

désormais de retrouver cycliquement les ombres

errantes aux Enfers.

Images d’inspiration présentes dans le dossier.

Photos non personnelles, par ordre d’apparition dans la mosaïque :

  • Image 1 : couverture du Perséphone de Gide édité par Gallimard.

  • Image 2 : simulation utilisant la silhouette d’Eva Green dans Camelot.

  • Image 7 : fleur en métal doré trouvée dans une tombe près d’Eleusis, 400BC-350BCE, British Museum, Londres.

  • Image 11 : Maria Callas dans Médée de Pasolini.

  • Image 12 : simulation utilisant les silhouettes d’Eva Green dans Camelot et de personnages dans la Médée de Pasolini.

  • Image 17 ; intérieur des Carrières de Lumières ©Culturespace

  • Image 18 : Le Sacre du printemps, Pina Bausch, Opéra de Paris.

  • Image 19 : dessin de l’intérieur des carrières des Baux-de-Provence, auteur inconnu.

  • Image 22 : Yves Saint Laurent

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Moi, Orphée